Foi et croissance

Marcher selon l’Esprit 

Peu importe notre dénomination, l’essentiel est que nous croyons que Dieu est Père, Fils et Saint-Esprit. Que Jésus a été envoyé, fait chair et a marché sur cette terre, qu’il a vécu comme un être humain, fut baptisé et a reçu le Saint-Esprit, qu’il est venu nous montrer la voie, et surtout qu’il est mort et ressuscité au troisième jour. Ceci est la base de toute chose, ce qui prévaut si nous voulons marcher selon  l’Esprit.

Que votre âme prospère

Nous avons tous déjà entendu ce verset-clé qui n’est autre que 3 Jean 1. 2: « Bien-aimé, je souhaite qu’en toute chose tu prospères et sois en bonne santé comme prospère ton âme ».  L’ apôtre Jean est connu pour être l’apôtre de l’amour. C’était aussi un apôtre qui marchait dans le prophétique : il avait reçu des révélations fortes, qu’il considérait et voyait comme étant déjà établies, enracinées dans le temps…

Se défaire de la comparaison, la jalousie, la compétition, échec, envie etc.

Vivre avec des concepts tels que la comparaison, la jalousie, la compétition, l’envie, n’est pas un bonne chose. Vous le savez, nous le savons tous et Christ le sait encore plus que nous. Mais malgré le fait que nous soyons à Christ, nous le vivons encore trop souvent. Mais honnêtement, comment se défaire de la comparaison, de la jalousie, de l’envie, de la médisance, du jugement, de toutes ces choses ?

L’importance de la repentance

Est-ce que la repentance et la croix ont encore leur place dans la vie d’un enfant de Dieu dans son quotidien? La réponse devrait être : oui. Est-ce que tous les chrétiens vivent encore avec la notion de la repentance et l’importance de la croix dans leur vie personnelle et leur vie spirituelle? La réponse est : non. Est-ce normal? Non.  Parlons-en  aujourd’hui…

La question n’est pas:  » Est-ce que Dieu m’aime », mais « est-ce que je l’aime vraiment? »

La fameuse question que l’on se pose ou que l’on nous pose: « est-ce que Dieu m’aime? »  ou encore « est-ce que Dieu m’aime vraiment ? », n’est pas applicable. Dans la mesure où Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son fils unique, nous voyons que oui, il nous aime. La question est plutôt de savoir  (et donc nous devons nous demander) si nous l’aimons vraiment